Dieu ne devra gui?re etre notre premiere priorite, dit un rabbin orthodoxe revolutionnaire

Donniel Hartman, responsable d’une institution scolaire, affirme telle une heresie que les belles religions monotheistes paraissent fatalement imparfaites – a cause d’une concentration excessive sur Dieu qui surpasse cela devrait etre une essentiel premier, vivre decemment et moralement. Ici, il explique pourquoi nous devons riposter

David est le fondateur et le redacteur en chef du Times of Israel. Cela etait auparavant redacteur en chef du Jerusalem Post et du Jerusalem Report. Il va i?tre l’auteur de « un tantinet trop pres de Dieu : les frissons et la panique d’une vie en Israel » (2000) et « Nature morte avec les poseurs de bombes : Israel a l’ere du terrorisme » (2004).

« Placer Dieu en deuxieme ». Le titre meme du nouveau livre de Donniel Hartman sonne tel votre sacrilege, une heresie, une agression contre le Divin et J’ai foi dans le Divin.

Mais evidemment, il ne pourra pas s’agir de cela, n’est-ce-pas ? C’est ecrit, apres bien, avec un rabbin orthodoxe. Par le president de l’institut Shalom Hartman, une institution scolaire dediee au renforcement du judaisme.

L’institut Hartman, situe dans un grand campus aere pres du theatre de Jerusalem, emploie plus de 300 personnes dont l’objectif partage, d’apri?s Hartman, est « d’elever les idees et les programmes pedagogiques de la vie juive, Afin de creer ainsi un judaisme puissant et porteur de sens concernant le monde moderne. »

Il dirige des programmes dans 130 lycees israeliens laics, et une annee de cesure pour les Israeliens et les Nord-Americains ; il a forme environ 1 000 rabbins en Amerique du Nord ; il codirige une nouvelle ecole rabbinique israelienne pour hommes et dames de l’ensemble des courants du judaisme ; il a fourni le chantier des educateurs Hillel de dizaines de campus universitaires americains ; 1 000 officiers de l’armee israelienne etudient la totalite des ans a l’institut, qui heberge aussi deux lycees orthodoxes (un pour les garcons, un pour nos meufs) de 700 lyceens.

Plusieurs milliers de dirigeants laics d’Amerique du Nord etudient dans ses seminaires. Cela dirige des programmes complets Afin de nos dirigeants chretiens et musulmans d’Amerique du Nord, et Afin de nos educateurs arabes en Israel. Au moment de ma visite, un groupe d’importants responsables d’une marketing israeliens etaient dans la classe voisine, Afin de un programme sur la signification de Jerusalem.

Et le directeur de ce mastodonte juif de l’education et J’ai recherche nous dit de placer Dieu a la deuxieme place ? Eh bien, oui.

Cela admet avoir eu « de nombreuses debats » sur comment appeler le livre, dont le sous-titre, « Comment sauver la religion d’elle-meme », martele l’objectif.

Il souligne qu’il n’essaie pas « d’etre provoquant. J’suis 1 educateur. Je ne requi?te gui?re l’attention. »

Mais il est plus categoriquement un revolutionnaire religieux

‘Il y a quelque chose d’errone dans le systeme, que le systeme ne regroupe nullement completement. Je ne crois pas que la religion comprend l’impact de Dieu via l’homme’

Hartman affirme que l’ethique, vivre honnetement et decemment, se doit de etre J’ai toute premiere priorite de l’etre humain religieux, de tous les etres humains. La majorite d’entre nous sont d’accord avec ce qui.

Cela deplore que dans le judaisme, tel dans toutes les grandes religions monotheistes, l’obsession de Dieu ait ete autorisee a prendre une preseance intolerable sur cet imperatif ethique fondamental. Beaucoup d’entre nous vont i?tre aussi d’accord avec i§a.

De maniere plus controversee, il affirme cependant que la concentration exageree, surelevee sur Dieu dans la religion n’est en fait gui?re la faute des religieux, des pratiquants, mais du monotheisme lui-meme. « Je vais plus loin que bon nombre de critiques d’la religion », reconnait Hartman, exposant le defi pendant une interview sincere dans le travail a l’institut, « parce que la plupart des critiques d’une religion disent que le probleme sont les individus religieuses qui Notre deforment. Je ne crois nullement que ce soit la situation. Je pense qu’il y a une maladie auto-immune integree a la religion. Ils font quelque chose d’errone dans le systeme, que le systeme ne regroupe gui?re totalement. Je ne pense nullement que la religion comprend l’impact de Dieu sur les gens. »

Donc, non, Donniel Hartman souligne que son appel sonore pour placer Dieu en deuxieme place n’est gui?re une provocation superficielle.

Cela reste plutot issue d’une conviction que « plus nous placons l’ethique en premier, plus nous sommes des individus religieuses », et moins Dieu est « une force destructrice dans des vies ».

Ca fait-il de lui un heretique ? Peut-etre, permet-il, s’il est heretique d’admettre « que la religion a des defauts, ainsi, que la religion est en mesure de echouer. »

Cela n’appelle nullement a fermer la religion, loin de la. Comme le dit le sous-titre, il tente « de sauver la religion ». Mais, a nouveau, « si la critique reste heretique, ce qu’elle peut devenir, aussi oui, j’habite fier d’etre heretique, dit Hartman. Mais dans une tradition, la critique reste le plus grand signe d’amour. »

Cela suit est une transcription editee de notre interview.

The faux profil singleparentmeet Times of Israel : Avant que nous ne parlions de votre livre, dites m’en legerement plus via votre que vous et votre institut faites.

Donniel Hartman : L’institut Hartman essaie d’elever le discours juif, d’elever les pensees et les programmes pedagogiques dans le quotidien juive, pour creer ainsi un judaisme puissant et porteur de sens concernant le monde moderne. Cette institution est fondee concernant la croyance que la continuite juive reste dependante du contenu et de la qualite de nos idees ainsi que nos valeurs morales. Nous ne sommes pas un think tank politique qui possi?de une prescription. Le peuple juif roule dans ses pensees, produisons ces remarques, laissons-les sortir sur le terrain.

J’ai particularite de l’institut reste que nous prenons la responsabilite de developper ces pensees et ensuite de les traduire dans des programmes de differentes ampleurs. Notre taille va de dix a cent fois la taille de l’institution scolaire juive renovee moyenne en Israel. Elles ont des budgets qui vont de 250 000 dollars a 2,5 millions de dollars. Notre budget est de 25 millions de dollars. Nous avons entre 300 et 400 employes. Nous pouvons, ainsi, nous le faisons, apporter les etudes juives a la societe israelienne d’une maniere qui est pluraliste, qui est democratique, qui reste liberale. Nous sommes donc presents actuellement dans 130 ecoles, un tiers de tous les lycees laics du pays.